mercredi 21 novembre 2012

Info 21/11/2012

Sasha : la chatte du mois

Depuis cet été, le refuge soigne Sasha, une gentille chatte tigrée et blanche. Elle est aujourd'hui sortie d'affaire et peut être adoptée.
L’histoire de Sasha tient du film noir . Présentée déjà dans le n° d’aout  2012 des Coussinets roses, la revue des membres de l'association, cette  femelle de 4 ans  a été  retrouvée folle  de peur après être restée enfermée trois jours dans son panier de transport .   
On a découvert  plus tard qu’elle avait été martyrisée, la peau des deux joues découpées au cutter !  Soignée depuis,  le côté gauche a bien cicatrisé,   le droit semble en bonne voie même si la blessure est encore visible ( voir photo)  .
Pour l’instant les autres chats lui font peur ( sa blessure encore fraîche lui fait sans doute craindre un coup de patte malencontreux ) mais, curieusement là encore, comme  sa compagne de malheur la douce Mikado , Sasha n’est pas rancunière et se montre gentille avec les humains ... On lui souhaite de nouveaux maîtres  tendres comme elle   et qui sauront lui faire oublier   la cruauté   des anciens ! 



samedi 3 novembre 2012

Info du 3/11/2012

03/11/2012 :  Lancer de chats !

Qu'est-ce qu'il ne faut pas voir ni entendre.

Encore une des extravagances soit disant artistiques de celui que je nomme "un détraqué, malade bon à enfermer", le belge flamand Jan Fabre, à qui je refuse le droit de s'appeler un artiste. S'il a besoin de provoquer en se servant d'animaux vivants dans ses œuvres il faut qu'il arrête (d'ailleurs il y a longtemps qu'on aurait dû l'arrêter).
Un coup d’œil sur ses œuvres (et je ne ferai pas l'impair de mettre une image pour illustrer cet article, vous trouverez simplement sous son nom en cherchant dans Google) et vous pourrez constater son mépris pour ses semblables, pour la vie et pour les animaux, son mauvais goût (mises en scène d'animaux empaillés),  et quelle hypocrisie et désinvolture dans ses excuses !
Si la provocation peut être un déclencheur pour dénoncer des choses qui ne devraient pas exister dans notre monde, faire de la provocation n'importe comment n'est certainement pas souhaitable. Quelqu'un qui a besoin d'animaux vivants pour se démarquer et faire parler de lui, ferait mieux de s'arrêter et de faire autre chose parce qu'il ne mérite pas le nom d'artiste.

Cela me rappelle le scandale de cette biennale au Honduras en 2008 où un autre de ces détraqués, "l'artiste" Guillermo Vargas Habacuc du Costa Rica a laissé un chien, attaché par une corde, mourir lentement de faim soi-disant au nom de l'art ! et au milieu de l'indifférence quasi générale de ces déjantés venus pour voir l'exposition. Ces derniers me semblent tout aussi irresponsables et cruels que l'artiste lui-même. Aucune motivation quelle qu'elle soit ne peut supporter de tels excès et ne démontre dans tous les cas ...rien. Ces "artistes" ne sont rien.

L'humanité tombe de plus en plus bas, l'art aussi.

Quant aux soi disant propriétaires de chats qui se sont prêtés à ce type d'expérience, mon seul commentaire : ce que je les plains.